La Libération de Paris

« En tant que membre du Comité de la presse clandestine, je me suis trouvé mobilisé le 20 août 1944 sous les ordres d’une grande gueule de journaliste qui, la veille, s’était offert deux galons de lieutenant. «Vous devez être partout où ça tire », consigne d’autant plus facile que ça tirait de tous côtés. »